Maladie de twirling ?

bonjours, pouvez vous m'endire un peu plus sur cette maladie?
due au stress? ou un accarien dans l'oreuille?carence vitamine B? AUTRES.......

que faire pour soigner?
contagieux ou pas?

Merci de votre aide!

Bonjour,

J'ai pu trouver ceci, c'est sur un autre forum mais bon c'est pour la bonne cause.

Les réponses semblent unanimes : voir le vétérinaire.

Twirling

En espérant avoir pu t'aider.
Les membres bien plus connaisseurs que je ne le suis auront tôt fait de rectifier ou confirmer.

Bonjour,
j'élève des goulds, et c'est une maladie qui apparäît régulièrement chez cette espèce. Personellement je n'ai eu qu'un cas, malheuresement jamais réussi à soigner, je crains qu'il n'y a pas grand chose à faire. Par contre il arrive parfois que ça disparaisse "naturellement" sans en connaître la cause.

j'ai trouvé ça sur le net
"cette maladie est due a 95 % par une infection de l'oreille interne aller chez le véto, demander de l'imospectain en injecter sous la peau ou au bréchet mais vraiment très peu enfoncer l'aiguille et vous injectez 2cc pendant 4 jours arrêter 10 jours et recommencer une fois"

vous en pensez quoi?

Bonjour, l'éventail des causes possibles est assez large, les symptômes tels que marche titubante (pour les oiseaux qui marchent réellement comme le pinson, les colombidés, certains insectivores ect...), mouvements de tête évoquant un torticolis, perte d'équilibre, mouvements désordonnés évoquant l'épilepsie, peuvent avoir diverses origines : parasitisme, intoxications par émanations gazeuses, métaux lourds, médicamenteuses, chimiques par contact (désinfectants, traitement antiparasitaire de contact mal employé tel IVOMEC), virales (exemple maladie de Newcastle et ses variantes déterminées par des sous types viraux), botulisme par consommation d'asticots élevés sur matières contaminées ect............
Le domaine est vaste et poser un véritable diagnostic sur un seul oiseau au sein d'une "population" qui comporte 30-100 spécimens (un exemple) repose sur des éléments d'ensemble souvent complexes et fastidieux à recueillir, il s'agit d'une véritable enquête "épidémiologique" :
mouvements au sein de l'élevage (entrée-sorties ), visites éventuelles d'autres élevages, visites d'autres éleveurs dans notre élevage, alimentation, carences éventuelles vitaminiques , minérales , intoxications par traitements récents réalisés au sein de l'élevage, que ce soit parasitaire par traitement curatif en cas de parasitisme avéré ou préventif , respect des bons dosages ? sur traitement par antibiotiques, utilisation simultanée de produits antagonistes entre eux , accès des oiseaux à l'extérieur sans protection contre les oiseaux sauvages (contamination) , l'oiseau souffrant a t-il été placé récemment dans une cage de confection artisanale (colle contenant des solvants, peinture à émanation toxiques), traumatismes possibles du à des bagarres lors de l'accès au bain, mangeoires ect.....(hématomes visibles sur le crâne, début d'hémorragie méningée), autant d'éléments (j'en oublie) qui rendent l'exercice difficile surtout si une forte quantité d'oiseaux n'est pas concernée, reste le vétérinaire (spécialisé) mais..............il sera peut être un peu dépassé pour 1 seul spécimen, il est utile de se renseigner sur l'état sanitaire de la "faune ailée citadine" qui nous entoure, des mortalités sont régulièrement constatées lors de périodes hivernales et se traduisent par la mort constatée de nombreux passereaux (verdiers,tarins des aulnes) aux mangeoires par le biais de contamination par salmonellose, les populations de pigeons des villes passent également par des pics de mortalité importants avec suivi de stabilisation des populations survivantes, les symptômes rencontrés sont perte d'équilibre, démarches ébrieuses et....forte mortalité, après analyses il s'agit de mortalité dues à un sous type viral de la maladie de Newcstle..................
Reste que chacun est libre de tester "la potion magique miracle" , pour ma part je préfère ne pas vous conseiller sur l'utilisation de tel ou tel produit de traitement, ce qui est efficace chez moi ne le sera pas forcément chez les autres, je considère que chaque élevage (le miens compris) doit être considéré comme une entité au statut sanitaire inconnu, de ce fait, même lorsque je me rends chez le "meilleur copain" éleveur, je considère que je pénètre en territoire inconnu, au retour dépose des chaussures et elles demeurent absolument interdites d'accès dans l'élevage, une mesure toute simple consiste à placer un bac "pédiluve" à l'entrée de notre pièce d'élevage, un bac à litière pour chat , un morceau de mousse épaisse (4 cm environ) , le tout imbibé d'un désinfectant-bactéricide-virucide type "virkon" et le tour est joué, le visiteur met les pieds dedans en rentrant et le tour est joué (pas besoin de mettre du produit par dessus bord) , vous voila déja à l'abri de pas mal de mesquinerie micobienne, virales ect..)
la quarantaine doit être la règle de base avant toute entrée d'oiseaux dans l'élevage, si parmi vous quelques uns souhaitent donner des détails sur leur façon pratiquer celle-ci ça devrait être utile pour la communauté, alors..........à vos claviers

bonjour,
j'ai connu le probleme bde l'hélicpotere ;l'euphéme a le torticolis tourne au sol sur place reméde;- analyse vétérinaire trés rapide. Si c'est la paramixovirose tu ne rentre s plus dans cette piéce d'élevage ou pour tout euthanisier. en 2008 j' ai rentrée une bourke en voliére SANS quarantaine : elle était porteur sain. Pédiluves a l'entrée des salles délevage, combine a jeter, vaccin vétérinaire . Résultat en 3 semaines 92 splendides mortes ou euthanasiées. survivants qui ce sont remis mais n'ont plus jamais reproduit . je n'ai plus jamaisréussi àremonter mon élevage de splendides..... je te dis Me..e . Attention, ca n'arrive pas qu'aux autres. Sois prudent quand tu introduis de nouveaux oiseaux dans to n élevabe. J marc

quelques nouvelles
l'éleveur en question avait 10 couples d'euphemes, j'ai bien dit "avait" car après analyse c'était bien un sous type viral de la maladie de Newcastle donc soit il a perdu les oiseaux soit il les a tué!!!
je suis allé chez lui pour lui réservé de futurs jeunes et vinalement c'est moi qui lui est donné 2 couples de réserves, car le pauvre était complètement atristé et dégouté!!!
sale maladie rien a faire très contagieux!!!!
merci pour vos conseils

rebo26 (jean marc) as tu recommencer l'élevage des euphemes car quand on a eu 92 splendides (je ne connais personne qui en a autant) on ne peut pas s'en passer comme ça?

eupheme31 a écrit:

quelques nouvelles
l'éleveur en question avait 10 couples d'euphemes, j'ai bien dit "avait" car après analyse c'était bien un sous type viral de la maladie de Newcastle donc soit il a perdu les oiseaux soit il les a tué!!!
je suis allé chez lui pour lui réservé de futurs jeunes et vinalement c'est moi qui lui est donné 2 couples de réserves, car le pauvre était complètement atristé et dégouté!!!
sale maladie rien a faire très contagieux!!!!
merci pour vos conseils

rebo26 (jean marc) as tu recommencer l'élevage des euphemes car quand on a eu 92 splendides (je ne connais personne qui en a autant) on ne peut pas s'en passer comme ça?

bonjour,
comme j' avais perdu toutes mes souches, j'airacheté des oiseaux pendant 4 ans,,, sans succésj'ai décidé cette année de reproduire avec 4 couples puis arret total et je tente les chardons en mutation. Cordialement, j Marc

ton expérience est la bienvenue sur le forum des euphemes
http://noseuphemes.forumsactifs.net/

Je remonte ce vieux sujet qui pourrait être d'actualité pour moi.

Il y a quelques semaines, une de mes femelle diamant de gould à été victime d'une frayeur nocture (rien d'exceptionnel pour un gould).
Au matin, elle tenait à peine sur ses pattes, la tête rejetée en arrière avec des mouvement incohérent allant jusqu'à des pirouettes assez impressionnantes.

Persuadé que l'oiseau ne survivrai pas plus de quelques heures, je me suis fait une raison.

Cela fait deux mois que cela s'est passé et l'oiseau est toujours vivant. Elle a récupéré pas mal d'équilibre, mais prudente, évite de se mêler aux autres oiseaux de la volière. Elle reste perchée dans la moitié inférieure de la volière, se déplace, mange et boit.
Elle conserve cependant ces mouvements de tête, moins brutaux qu'au début. Elle arrive même maintenant à rester calme pendant de longues période, la tête penchée mais immobile.
Il semble aussi que ces mouvements lui serve à surveiller son environnement avec l'oeil gauche, le droit étant systématiquement à l'opposé de ce qu'elle semble l'intéresser au point que je me suis demandé si elle n'avait pas perdu la vue de l'oeil droit (qui extérieurement ne semble pas avoir subit de lésion, et ne présente aucun voile gris).

Une petite vidéo tournée hier alors que l'oiseau était perché à mi-hauteur de la volière (elle est dans ce cas plus agitée que lorsqu'elle est dans le bas de celle-ci).



Est ce que tout cela correspond à la maladie de twirling ?

Bonjour François,
je ne sais pas s'il s'agit de cette maladie, si d'autres oiseaux dans l'entourage immédiat de cet oiseau n'ont pas présenté des symptômes similaires, je pencherai vers une/ des lésions cérébrales causé par un choc lors d'une frayeur nocturne, en fonction de l'importance des lésions et de leur localisation l'oiseau peut être affecté dans son équilibre, avec l'habitude, l'absence de réponse des parties cérébrales affectées est compensée par des postures plus ou moins "équilibrées". En fait l'oiseau fait sa rééducation tout seul et compense progressivement ...........
J'ai déjà eu le cas avec une femelle chardonneret qui continuait à vivre avec ce handicap, chez l'humain, les arrêts vasculaires cérébraux (A.V.C) conduisent aux mêmes problématiques, toutefois, les lésions sont causées par des caillots qui obstruent les vaisseaux sanguins, en fonction des dégâts causés par ces caillots et de leur emplacement, les séquelles sont plus ou moins importantes et peuvent provoquer des paralysies qui affectent une partie du corps avec plus ou moins d'importance, l'importance des caillots et leur position peuvent conduire à la mort................
Dans le cas présent, la maladie de Newcastle est à écarter, il n'en serait pas de même si plusieurs oiseaux présentaient des symptômes similaires accompagnés de mortalité, reste que s'il y avait lieu de rapprocher de tels symptômes de cette maladie, une confirmation par analyse serait requise, il serait donc bien venu de se rendre chez un vétérinaire............

C'est en effet le seul oiseau atteint. Pas de contagion.

francois s a écrit:

C'est en effet le seul oiseau atteint. Pas de contagion.

Je pencherais aussi pour la version d'Yves, j'ai eu plus ou moins le cas avec un mâle de tarin rouge.

Merci pour ces informations.

Le lien entre la frayeur nocturne, la chute (et probablement choc) et le comportement actuel me semble cohérent.