Il s'agit d'une grosse arnaque, le véritable monde de l'apiculture est impliqué en permanence dans la défense ce l'abeille et ne soutient pas cette farce, l'abeille (Apis mellifica)n'est d'ailleurs pas la seule à polliniser, d'autres abeilles qui ne produisent pas ou que très peu de miel sont également à protéger..................
Il semble que nous sommes en face d'une nouvelle association créé par la même famille, des pionniers de l'entreprenariat associatif et du "fund raising". Le père à fondé l'association CONTRIBUABLES ASSOCIES, le fils SOS EDUCATIOŃ, la bru IFJ -Insttut pour la justice ....
Voici cet article d'un journaliste du monde sur SOS EDUCATION et les commentaires
http://education.blog.lemonde.fr/2010/05/13/lultra-verite-sur-sos-educat...
Et ce forum France 2
http://forums.france2.fr/france2/Education/nathan-bordas-education-sujet...
Ou on expose la technique d'un fundraising qui s’appuie sur l’indignation d.un pigeon . En quelques mots :
1. On fait un mailing auprès d’une population bien ciblée ( de nature à s’indigner, ayant de l’argent, un certain âge, etc…)
2. On y dénonce tous les abus du sujet traité. On fait pour cela appel à des rédacteurs-marketeurs dont c’est le métier. Cela ne s’improvise pas !
3. Le plus important : on joint un « référendum » ou une pétition à renvoyer impérativement à l’adresse de l’association avec un bulletin « de soutien » (et non pas « d’adhésion » au sens juridique du terme) pour faire un don de 20, 40 ou 100 euros ; la formulation est faite de telle façon qu’il est habilement suggéré que le renvoi du « bulletin de vote » doit être accompagné d’un chèque pour être bien pris en compte « oui, je soutiens votre action etc. »
J'ai signé cette pétition il y a déjà un bon bout de temps, je le regrette car je suis régulièrement sollicité par des mails qui conduisent immanquablement vers un appel aux dons, j'ai donc classé tout ça dans les indésirables !!
Chacun reste bien entendu libre de signer cette pétition mais tôt ou tard vous serez sollicités régulièrement pour mettre la main à la poche