Comment vous est venue la passion?

Petit sujet sans prétention à l'aube de la saison calme, pour moi qui ne fait plus d'expositions.

Comment vous est venue votre passion pour les oiseaux? Enfant d'éleveur, de tendeur ou autre?

Personnellement, je dois être le seul amateur d'oiseaux de la famille. J'ai, comme beaucoup, commencé dans les années soixante avec un tamis à charbon, un piquet et une ficelle...

La passion a grandi. En 1980, je me suis inscrit dans un club AOB (La Volière Marchoise), pendant mon service militaire, mon épouse s'occupait de mes oiseaux, élevait une merlette à la main et surveillait une nichée de linottes mise à des canaris...

En 1987, débordé par mon travail, je cédais le reste de mon élevage (qui a été à près de 200 oiseaux) à mon jeune frère.

En 2010, au seuil d'une maladie qui me cloue chez moi, j'ai repris avec un couple de mandarins. Le virus latent a repris et de plus belle encore!

Je commencerai la saison 2012 avec mes mandarins mais aussi des verdiers mutants ainsi de des tarins rouges...

A vous!

Bonjour,

Chez moi ça a commencé par des pigeons que mon père élevait : j'étais toute gamine et grimpais dans le pigeonnier nourrir les jeunes (ils avaient déjà les yeux ouverts mais pas encore de plumes) avec du pain trempé dans de l'eau et ils étaient apprivoisés! En 89, il ne me restait que "Titi" et malheureusement, il s'est fait écrasé. J'ai acheté une colombe pour le remplacer mais l'éleveur chez qui je suis allée n'avais pas de femelle à me vendre et il m'a donné un couple de mandarins. Ensuite, j'ai eu des colombes, tourterelles, canaris et divers petits oiseaux qui garnissaient ma volière.

En 2002, j'ai acheté un couple d'agate opale jaune et me suis affiliée à un club, en 2003 j'ai acheté mes premiers agates opales mosaique jaune et j'ai commencé les expositions en 2004. J'ai souvent eu un couple ou 2 d'indigènes mais depuis 2008 j'ai diminué les canaris et j'ai commencé les chardonnerets, bouvreuils, tarins et sizerins.

Voilà ma petite histoire...

oh la la mon grand père était tendeur mes je croit que tout a commencé quand j'ai connut ma femme sont papa avez quelque canaris.
j'ai donc aussi acheter un cl de canaris qui ce trouver etre 2 males donc j'ai du reprendre 2 fem et puit j'ai reussit mes premier metis de tarin
que j'ai exposer a peruwelz en 2003 avec l'aide de renaud (la maison qui chante) et voila mon premier 92
et voila le virus qui commençe jusque 2007 ou j'ai tout vendu suit a un probléme de famille et j'ai reprit cette année et pour longtemps
avec un objectif qui et peut etre haut ou trés haut une medaille au championnat du monde en hybrides mes bon on et pas encore la
voila mon histoire a moi.
manu

beau sujet daniel et pour 2012 1 ou 2 cl de linot X bouvreuil pour le reste on vera

Très joli post!

Pour ma part, tout a commencer vers 8 ans, je "tendais" (hahahaha) avec une tamis, un "boquet" de bois et une ficelle. Quel joie quand j'ai attrapé une femelle pinson. Habitant chez ma grand -mère, j'ai mis cette femelle avec son canari croyant avoir des jeunes bien sur, hihihi. Mon oncle, qui habitait encore a ce moment avec sa maman, me dit en wallon, " Ti n'âret maye rin avou soulà, hein m'gamin" traduction pour nos amis français, "Tu n'auras jamais rien avec ça, mon enfant". Il m'a emmené dans une oisellerie et m'a offert une femelle canari. Avec ce couple j'ai eu des jeunes, et puis d'autres.... Ma passion pour les oiseaux m'a amener a devenir juge, mais ça ce fût par défiance envers un président de club qui m'avait surpris en train de dire " Tiens, ça me dirait de devenir juge un jour", sa réponse a été cinglante, "Ben alors là, tu n'es pas capable sais-tu!", j'ai ruminé le reste de la réunion de club car je pensais que le rôle d'un président était de pousser vers l'avant de jeunes amateurs, de plus j'avais dit cela comme ça , sans jamais penser que ça puisse arriver. Sa phrase a été un déclic, j'ai décidé de me présenter à l'examen de juge, je l'ai réussis et j'avais ma revanche. Maintenant, je suis juge COM et l'entente avec cet ex-président n'a jamais plus été correct. Dommage.

Aaaaah la passion des oiseaux, c'est des kilomètres de routes, des heures d'attente dans les bourses, des joies aux expositions, des peines aussi MAIS SURTOUT ça m'a permis de connaître le parrain de mon fils, un gars EXCEPTIONNEL a qui je dis: MERCI D'ÊTRE LA, Mc Fly!

Bonjour a tous, gamin j'ai toujours ete passionne par les animaux que se soit oiseaux ou autres d'ailleur, j'ai commence par les poussins achetes sur le marche j'avais des volailles des lapins des canards des pintades des oies etc, je ne vais pas tout citer il en aurait trop,pourtant ce n'etait pas une ferme ensuite les pigeons de beaute pas les voyageurs,j'ai nourrit a la main un coucou ramasser en debroussaillant ,essayer de sauver des oisillions rouge-gorge sans succes ,j'aurai plein d'anecdote a raconter .
En petit oiseau j'ai eu des tarins, des linots, des chardonnerets,etc mais un peu trop sauvage, trop nerveux
Aujourd'hui , a cause de la legislation francaise ,je n'ai plus que quelques couple de canari et de verdiers de mutation , d'ailleur je vient d'acquerir un verdier lutino je n'arrive pas a determiner le sexe ,j'attend voir s'il chante, voila en bref.

Bonsoir à tous,
Enfant au début des années soixante, les friches étaient mon terrain de jeu. Un jour de décembre, j'ai été bouleversé à la vue d'une bande de pinsons. Je l'ai suivie des yeux toute l'après-midi et, ayant repéré leur dortoir, un troène bien abrité qui avait gardé ses feuilles, j'y suis retourné avec une lampe-torche la nuit tombée.
J'ai alors attrapé à la main nue un magnifique mâle, mon premier oiseau à moi tout seul, car mes parents avaient déjà un couple de perruches et un rossignol du Japon.
Cet hiver fut très rude, j'ai pu observer de près des oiseaux rendus moins méfiants par le froid (Bruants des neiges, pinsons du nord, sizerins...) Je les identifiais avec un vieux livre de Barruel, le virus était déjà bien ancré!
Peu après, je m'abonnais au Monde des oiseaux qui était de petit format à l'époque et qui contenait chaque mois deux magnifiques planches dues au talent de M Heinzel. C'était le seul mensuel, à ma connaissance, à publier des comptes-rendus de tenderie et des résultats d'élevage d'indigènes. Que j'enviais les Belges à l'époque de pouvoir vivre leur passion en toute légalité!

A 8 ans, j avais économisé franc par franc pour acheter mon 1er canaris blanc, je me suis rendue dans une magasin à Flémalle chez Godenne (des gros rapias) le jour suivant, je l ai retrouvé raide mort.
Un peu plus tard mon père qui était allergique aux oiseaux m'a acheté un couple de canaris jaunes, un beau male mais une femelle avec une respiration bruyante morte quelques mois plus tard. On a été chercher une femelle rouge à la batte et enfin, j ai eu mon premier bébé canari, assez petit, croisé orange et jaune.. C était le plus beau.
Je lui ai ramené des femelles brunes, vertes. J ai eu (avant l heure) des arlequins très bons chanteurs.
J avais aussi un oncle colombophile chez qui (avec ma soeur) on a trouvé des sous dans le pigeonnier (après sa mort) on a rien dit lol J ai ramené (en cachette) les petits pots à nourriture, pleins de trucs pour les pigeons et jour de chance, après un orage, mon papa a trouvé un pigeons gris il y avait un bon dieu, on en voulait pas m en acheter mais il vennait de m en donner un tombé du ciel.
Ce petit pigeon, je l ai enfermé dans une volière, le genre de truc qu on fabrique à 8 ou 9 ans.. Comme il était tout seul "j ai insisté" on a été lui chercher deux femelles "pigeons de cour".
Ils se sont reproduits, on a fini par ouvrir la volière "ma soeur et les a chassés" , ils se sont évadés plusieurs jours, ils avaient laissé un jeune sniff..premier nourrissage à la main avec des gaufres de Liège prémachées.. Les parents on fini par revenir et se sont multipliés, multipliés, multipliés.. J ai aussi élevé un verdier tombé du nid (toujours avec du maché bien salivé de gaufres, pas très ragoutant mais ça fonctionnait) etc..ect
La volière des oiseaux est devenue de plus en plus grande avec les années..

Bonsoir,

Comme pour beaucoup, mes premiers contacts avec le "monde des oiseaux" remonte à l'enfance, avec un père qui élevait des pigeons mais aussi canaris, tarins, bouvreuils.....en petit nombre selon les moyens et les opportunités....

J'ai ensuite "quitté" ce monde quand j'ai pris mon envol (en appartement...) puis lorsque j'ai emménagé dans ma maison je me suis occupé de l'intérieur en premier lieu et racheté quelques oiseaux...tout en réfléchissant à une future pièce d'élevage "digne de ce nom"...
Après de nombreux mois de consultation, de réflexion et d'économies....je me suis lancé dans la construction de celle -ci dans le but "d'être prêt" pour 2012....

J'affectionne tout particulièrement les bouvreuils (ainsi que les tarins) (pour leur regard intelligent, leur beauté, leur "sociabilité"....) mais avant tout (inconsciemment je pense) parce qu'ils étaient les préférés de, mon père...
Pour bon nombre d'entre nous, cette passion remonte à l'enfance...période très importante, ou le milieu dans lequel nous évoluons nous influence fortement .....

DanielH a écrit:

J'ai, comme beaucoup, commencé dans les années soixante avec un tamis à charbon, un piquet et une ficelle...

Jean-Eric a écrit:

je "tendais" (hahahaha) avec une tamis, un "boquet" de bois et une ficelle.

On doit être beaucoup à avoir comencé comme cela!

Je remarque que la passion, pour la plupart a commencé pendant l'enfance...

Merci pour ces récits! Qui d'autre?

Hé hé, très bon post Daniel !

Merci.

Je prépare un ptit quelque chose et je te poste ça; mais je peux déjà dire que j'ai commencé tout jeune avec un fermier, on tendait au herna et au rihai (pas certain de l'orthographe !)

Ma première prise: un moineau domestique ! J'ai clapé 2 fois sur lui dans la trappe verticale => le fermier me l'a donné en main pour le placer dans la prisonnière mais arrivé près de celle-ci, je l'avais tellement bien tenu que ... j'ai du l'enterrer près de la cabane !
Je ne vous dis pas ma déception: j'avais 5 ou 6 ans.

La suite pour plus tard.

Si jeune et criminel...!!

Un de mes oncles venait tendre derrière chez moi, j'allais voir comment ça ce passait et il me donnait parfois un oiseau ( verdier, femelle de chardonneret, sizerin). Mon père a acheté quelques cages et qq canaris et la passion était lancée. J'avais +/- 8 ans; Les oiseaux qui me plaisaient le plus étaient les chardonnerts x canari et les bouvreuils .

Bonjour,
L'histoire serait bien longue car elle commence avec mes premiers souvenir d'enfance.
-Mon grand-père paternel(Jean) elevait des canaris Harzer dans son grenier.Quand nous étions "sages"nous pouvions aller les voir et, exceptionnellement ,observer des nids derrière un paravent.Il avait aussi un chardonneret"gros blanc" dans une belle cage en bois,dans son living,car il ne fallait pas "abimer" le chant de ses harzer,pour les concours
-Chez mon oncle(Prosper) il y avait toujours un métis linot x canari qui chantait toute la journée.
-Avec mon grand père maternel(Emile),nous allions voir les tendeurs dans le pays de Herve et parfois du côté de Theux. Je ramenais parfois un "laid"chardonneret ou un tarin.Mon premier tarin est parti apres 30 secondes car il manquait un barreau à la cage...
Puis j'ai passé des heures derrière la fenetre de la cave avec une ficelle en main,le coeur battant la chamade,dans le froid,et j'ai attrapé un pinson du nord avec un tamis et un bout de bois.
Puis j'ai mis une cage de tenderie avec des graines ds le fond et une ficelle pour refermer la porte...c'est ainsi que j'ai attrapé mon premier verdier...
Voilà comment cela a commencé,la suite serait trop longue....
A l'époque j'habitais Verviers ou passe l'autoroute maintenant.Il y avait toutes sortes de passereau,cini,sizerin,pinson,linot,tarin,maintenant tout cela a disparu,l'ecosysteme n'existe plus,l'humain a pris le pas sur la nature.
Jean-Pierre

Jean-Pierre a écrit:

Puis j'ai passé des heures derrière la fenetre de la cave avec une ficelle en main,le coeur battant la chamade,dans le froid,et j'ai attrapé un pinson du nord avec un tamis et un bout de bois.

Encore un!

Ceci dit, tu as raison pour le Pays de Herve, j'y habite depuis 3 ans et demi et cette région est très riche, ornithologiquement parlant!

Bonjour,

On me demande souvent comment cet engouement, ou plutôt, ce qui s’est transformé au fil des ans en une véritable passion m’est venue.
Mon premier souvenir remonte très exactement à 1958. Je m’en souviens parfaitement car c’était l’âge de mes dix ans et l’époque où mon père a commencé à m’emmener avec lui à la tenderie. Il venait me réveiller à cinq heures du matin. C’était une heure très matinale pour un enfant mais la joie de l’accompagner me faisait oublier toute fatigue. Déjà la veille, j’avais du mal à trouver le sommeil tant j’étais excité par la journée qui m’attendait. Et puis quel bonheur d’accompagner mon père. Il me faisait confiance et de cela je lui en serais toujours reconnaissant.
Je me souviens qu’il faisait toujours nuit lorsque nous partions à la campagne toute proche équipés de tout notre attirail et bien sûr des oiseaux appelants chargés sur un chariot de fabrication maison.
A cette époque, la législation n’imposait que le respect de la période de capture (1er octobre au 15 novembre) et d’un permis de tenderie délivré sans conditions par l’administration communale pour la modique somme de cent francs belges.
Chaque jour, s’organisait une véritable expédition, le matériel était rangé avec précision. Chaque cage avec l’appelant de la cinquantaine que nous emmenions sur le terrain était pendue au chariot suivant un ordre bien précis en rapport avec la quinzaine différente de fringillidés que mon père tendait et dont le chardonneret élégant était le plus apprécié.
Un passe-montagne, une grosse écharpe, deux pull-overs, des gants, de bonnes grosses chaussettes en laine bien chaudes et une bonne paire de bottes et j’étais équipé pour affronter les journées d’octobre – novembre qui en ce temps là me semble t-il étaient bien plus froides qu’aujourd’hui.
Dans la semi–pénombre, nous montions les filets, deux pièces de vingt mètres qu’à mon âge je n’arrivais pas encore à maîtriser. J’avais plutôt des tâches plus légères comme dérouler les cordons des mues, remplir d’eau les abreuvoirs des oiseaux appelants, aller placer les « avancés (1) ».
Lorsque le jour se levait et que nous étions fin prêts confortablement installés dans notre cabane (houbête en wallon de Liège) à siroter enfin notre premier café déjà bien mérité et qui devait nous réchauffer.
Tout autour de nous régnait le silence que seul le chant des oiseaux venait interrompre.
Dès que la cloche de l’église sonnait huit heures je ne pouvais m’empêcher de penser à mes copains de classe. J’étais bien plus chanceux qu’eux, car je faisais l’école buissonnière et j’apprenais la nature.
Parfois mon père me laissait mettre « au tirant (2) ». J’étais drôlement fier tel un paon. Je me souviens comme si c’était hier de toutes ses précieuses recommandations et notamment de la première fois où j’ai « clapé (3) ». Le résultat ne s’est pas fait attendre je me suis retrouvé sans bien réaliser se qui m’arrivait, les quatre fers en l’air, un mètre derrière le passet tellement j’avais tiré fort mais, j’avais enfin fait ma première capture ! Cette journée restera à jamais gravée dans ma mémoire. Les années ont passé, je me suis marié, puis j’ai construit mon premier local d’élevage et tout le matériel ad-hoc. J’ai commencé par l’élevage de canaris de couleur et mes premiers métis ont vu le jour quelques temps après. Je me suis affilié à un club et j’ai participé à mes premières expositions d’abord en tant qu’exposant puis plus tard comme membre du comité.
Au fil des ans, j’ai élevé des canaris de posture, des exotiques, et des perruches, j’ai également acheté une maison et pour la seconde fois j’ai reconstruit un local d’élevage, cette fois j’avais pour moi l’expérience de plusieurs années de pratique.
Me voici aujourd’hui en pré-retraite, et donc plus disponible pour exercer ma passion, celle de l’élevage du Chardonneret major en mutations.
Pourquoi le Chardonneret major ? Voilà une question qui m’est souvent posée et pour laquelle je n’ai pas de réponse, les goûts et les couleurs cela ne se discute pas !!
J’ai fouiné un peu partout pour obtenir des informations sur cet oiseau magique mais, bien qu’insatisfait, mon engouement initial a persisté. Puisque je ne trouvais pas ce que je cherchais et fort de mon expérience alors j’ai décidé de me lancer et de créer mon propre site Internet (http://chardonneret.major.sitew.com) entièrement dédié au Chardonneret major.
Quand je repense à toutes ces années passées, je me dis qu’à dix ans j’en connaissais plus sur les oiseaux migrateurs que sur les tables de multiplication ou l’accord du participe passé. Le temps s’est écoulé, j’ai appris à compter, puis à lire et à écrire mais à aucun moment de ma vie, la passion de la nature ne s’est estompée. Elle ne cessera jamais de vivre en moi.

(1) « avancés » : une cage avec un appelant que l’on place assez loin du filet d’où le nom d’avancé.
(2) « au tirant » : corde qui sert à faire refermer le filet.
(3) « clapé » : mot employé dans le wallon de Liège qui signifie tirer.

C.Jamar

Les oiseaux quand j en ai ramené pour la 1er fois on allait pas les manger toutes les autres bêtes étaient tuées psq mes parent étaient agriculteurs. A une époque j avais aussi un voisin tendeur et les pigeons de mon grand père dans le grenier (avec les souris qui grignotaient les graines dans les planchers)
C est comme un virus les oiseaux..

La maison où je suis né était à côté d'une oisellerie,et a 200 mètres j'ai eu une zoo\élevage avec des animaux différents, de perruches aux pigeons, de souris a de chiens. J'ai passé tous les jours de mon enfance dans le milieu des animaux,les oiseaux et les chiens sont celles qui j'ai toujours aimé

J'ais toujours vu des oiseaux dans mon entourage. A l'age de 8 ans j'habitais un immeuble dans une ville de 50 000 habitants , et le Dimanche, nous partions a "la campagne", , une exploitation familliale dans le Sud de la France tenu par les membres de la famille du coté de ma mère. Là de grands repas familliaux étaient organisés, ce qui était déjà un grand plaisir mais la cerise sur le gateau était la pratique illégale déjà à l'époque de la capture des fringilles que fesait un vieil oncle boiteux a l'aide de filets(suite a l'interdiction dans les année 70, il n'avait pu se résoudre a stopper sa passion). Dès que je m'approchais, maladroitement , de la cabane qu'il avait monté pour se cacher des passereaux, et que de grandes bandes s'enfuyaient a ma vue, il me "rossait" de sa canne. Je crois que c'est ce rejet qui m'a pousser a faire comme lui un peu plus tard. Vers mes 16 ans, un ami plus agé qui élevait des fringilles et avait de la famille en Belgique m'a prêté un petit fascicule "l'ornithologue" , je penses ne l'apprendre a personne sur ce forum , la revue bimestrielle de la FOW . J'ai trouvé dans cette revue les coordonnées de Monsieur Ruelle, avec qui j'ai correspondu pas mal d'année et qui a fini de me donner la passion des oiseaux et surtout de leur élevage. Il m'envoyait tous les 2 mois l'ornithologue et certaines de ses monographie. Dand les années 80, en pleine adolescence, quand j'expliquais , dans mon club, que j'avais mené a terme quelques nichées de fringilles, et que c'était possible, la majorité n'en croyait pas un mot.
J'ai , pour des raison familliales , quitté "le milieu", et en y revenant récemment, le changement m'a impressionné. Aujourd'hui, en France, il est possible, sans être capacitaire, d'élever des indigènes en mutation, et je ne vous cacherais pas que je "tente" de le faire avec beaucoup d'enthousiasme.
Merci pour ce post JP et je me rends compte que beaucoup de nos histoires ont des points commun , effectivement, mais naturellement aussi.

La tendance est bien la même pour tous (ou presque: Tous sauf un).. La passion a commencé très jeune, avant l'âge de 10 ans...

Pour certains, la passion dure donc depuis plus de 50 ans... Bravo!

moi la passion est venu de mon père qui avait des oiseaux deja a sont plus jeune age puis a l'age de 6 ans j'ai commencé a donner a boire a manger puis a miré les oeufs avec mon papa , mon pere ma inscrit dans un club j'avais 8 ans , alors la comme a l'ecole je croyais u il fallait etre le meilleur alors j'ecouter toute les conversation autour de moi et ensuite papa a acheter ce magnifique oiseaux qui etait le tarin rouge du venezuela,il me disait je vais travailler avec cet oiseaux le rouge de mes canaris mes cela a pris des années mais il a reussit ,puis il ma donné des oiseaux a m occuper il a dit cela sont a toi il seront baguée a ton nom et comme pars hazard a chaque championnat j'etait toujour devant lui. maintenant depuis plus d'une dizaines d'années j'éléve seul et a passé beaucoup de temps a recreer mes propre souche tarin rouge et autres ,voila voilou !!!salutation a tous

eltonio71 a écrit:

maintenant depuis plus d'une dizaines d'années j'éléve seul et a passé beaucoup de temps a recreer mes propre souche tarin rouge et autres ,voila voilou !!!salutation a tous

Avec une certaine réussite si j'en juge d'après tes images et posts.

J'ai acquis un couple le mois dernier et j'espère suivre tes conseils et ensuite tes traces...

merci Daniel avec un grand plaisir,

la patience,observation,comprendre


sont les clef de la reussite

salutation